«
Ludéal s'impose comme l'un des plus sûrs virtuoses du songwriting francais actuel, sans réel équivalent. On y entrevoit déjà l'aurore de quelque chose d'énorme !» déclarent "Les Inrockuptibles" ; «
Dix chansons d'un disque dont il serait dommage de se priver d'un seul morceau» surrenchérit "Le Monde"... les critiques sont unanimes, Ludéal est une révélation.
Êtes-vous prêts pour un voyage dans des péninsules martiennes ? Cest linvitation lancée par lescogriffe trentenaire. Vincent, de son prénom, a mitonné un premier album éponyme peu ordinaire, étrangement familier, ou plutôt tranquillement bizarre. Dix chansons au faux flegme romantique, genre amoureux transi mais pas dupe, entrecoupées dimages à lemporte-pièce, de saynètes comico-absurdes et dune galerie de personnages que ne désavoueraient ni Lewis Carroll ni William Burroughs.
«
Je suis autant inspiré par le cinéma que par la poésie ou la littérature. Parfois, il suffit juste dune phrase qui me plaît pour démarrer une chanson, comme une suite dimages, de cartes postales» déclare le chanteur.
«
Je nai découvert Bashung quà partir de lalbum "Fantaisie militaire". Cest là que je me suis dit : "faut que jme lance !"» poursuit-il.
À lépoque, Ludéal oscille entre un petit boulot de vendeur de disques et des esquisses de chansons gratouillées dans sa chambre, exutoires inaboutis dune existence quil juge monotone.
Aujourd'hui, le disque à la réalisation de Frédéric Lo (Daniel Darc, Stéphane Eicher
) et au mix de
Renaud Létang (Alain Souchon, Manu Chao, Feist
) est en bacs.
Pour écouter et/ou télécharger le premier album éponyme de Ludéal, cliquez sur
ce lien.