On se laisse vite entraîner par sa voix lascive pour basculer dans un univers où se croisent figures féminines, espoir et désenchantement. Rien de naïf dans la vision du sentiment amoureux, thème de prédilection de ce jeune auteur-compositeur et interprète de vingt-sept ans. Cest tellement proche de la réalité quon sy reconnaît et sy abandonne avec délectation, bien que ses chansons gardent toujours un aspect très poétique, quasi romanesque. Lauteur dit "écrire pour ne pas oublier" et cest bien autour du souvenir que tout se noue et se dénoue : damours de passage aux femmes qui le hantent, cest la vie du chanteur qui se lit en filigrane avec une sincérité désarmante.
Côté références on ne se hasarde pas dans des comparaisons hâtives mais il en faut bien pour situer lunivers de Mickael Miro. Il parle damour et des femmes comme un
Marc Lavoine ou un
Julien Clerc et appartient à cette génération de jeunes chanteurs romantiques, mais jamais mielleux, tels que Raphaël, Calogero, Martin Rappeneau, Renan Luce
Après plusieurs concerts à guichets fermés (le Divan du monde, le Sentier des Halles, le Réservoir, La Cour des loges, Le Zappa Tel Aviv
), Mickael mettra en scène sa musique le jeudi 25 janvier à 20h au Théâtre La Reine Blanche à Paris.
Par ailleurs, le chanteur participera prochainement à l'enregistrement du single caritatif "J'y étais pas" au profit de la lutte contre la maladie d'Alzheimer, via le collectif d'artistes Les Marguerites, avec Brûlant (ex-Sally Bat des Ailes), Allan Théo, Chloé Clerc, Nicolas Nourrit et bien d'autres.
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