Star Academy

Crédits photo : TF1
La nouvelle saison de la "Star Academy" s'apprête à vivre ses derniers instants sur TF1, après avoir opéré un retour placé sous le signe du succès. 21 ans après la victoire de Jenifer, ils étaient 13 à vouloir tenter l'aventure et remporter 100.000 euros et un contrat avec la maison de disques Sony Music France. Au fil des semaines, Anisha, Paola, Louis, Chris, Léa, Tiana, Ahcène, Carla ou Cenzo ont tissé des liens avec les téléspectateurs, interprété des duos avec de grands artistes chaque samedi soir, revisité "Ne partez pas sans moi" de Céline Dion, devenu l'hymne officiel de cette promotion 2022, et ils ne sont plus que quatre en lice. Lors de la grande finale qui aura lieu demain, samedi 26 novembre, dès 22 heures à cause de la Coupe du Monde au Qatar, ce sont Léa, Louis, Enola et Anisha qui s'affronteront, en compagnie d'invités de marque comme Lara Fabian, Nolwenn Leroy, gagnante de la saison 2, Soprano ou encore le parrain Robbie Williams !

Grégory Lemarchal à la sauce électro

En attendant de découvrir qui sera le ou la gagnante de la "Star Academy", l'album officiel de cette promotion 2022 sort aujourd'hui sur les plateformes. Il s'appelle "Iconique", un mot revenu à de nombreuses reprises dans la bouche des élèves, et contient l'hymne "Ne partez pas sans moi" produit par Mosimann, mais aussi des titres qui ont marqué les émissions musicales de la saison. Ainsi, Carla y revisite "Moi Lolita" d'Alizée, Julien reprend le mythique "Imagine" de John Lennon, Léa, Anisha et Tiana se frottent au ravageur "Dans un autre monde" de Céline Dion tandis que Paola réinvente le culte "Laissez-moi danser" de Dalida. Mais un titre ne devrait pas passer inaperçu, et c'est "Écris l'histoire" de Grégory Lemarchal que les élèves avaient chanté sur un prime avec Patrick Fiori pour rendre hommage au défunt gagnant de la "Star Academy" 4.

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Pour l'album "Iconique" de la "Star Academy", Chris, Léa et Stan ont été invités à poser leurs voix sur cette chanson phare de Grégory Lemarchal, sauf que l'instrumentale d'ordinaire épique est transformée en un morceau baigné de synthés qui ne colle pas vraiment au texte et à l'émotion qui se dégage du titre d'origine. Heureusement, le timbre rocailleux de Chris vient sauver le tout. Pas sûr que les fans de Grégory Lemarchal n'apprécient !