I Blame Coco

Vous avez aimé "Selfmachine", "Quicker" et "In Spirit Golden", les trois premiers singles d’I Blame Coco ? Vous apprécierez tout autant le nouveau morceau que la chanteuse a choisi afin de poursuivre la promotion de son premier album "The Constant" : "Turn Your Back On Love". Mélange de sonorités électro et pop porté par une voix indéniablement singulière, "The Constant" est un disque très bien pensé et véritablement bien produit. Il faut dire que la jeune femme a toujours baigné dans la musique depuis son plus jeune âge puisqu’elle est la fille du chanteur Sting. En plus d’être bien née, Coco a su s’entourer d’artistes compétents comme Robyn qui a excellé dans la musique électro/pop cette année avec "Body Talk". D’ailleurs, de cette collaboration est né un duo, "Caesar", présent sur l’album "The Constant". Il fut d'ailleurs le premier single paru en Angleterre au printemps dernier. Si le succès de Coco est croissant outre Manche, il est plus difficile pour la jeune artiste de s’imposer en France. Peut-être que "Turn Your Back On Love" renversera la donne…

Écoutez le nouveau single d’I Blame Coco, "Turn Your Back On Love" :


De son vrai nom Eliot Paulina Sumner, cette artiste a commencé très tôt à écrire ses propres chansons puisqu’à quinze ans, elle a déjà constitué un petit répertoire de titres dont quelques uns auraient dû figurer sur "The Constant". Elle signe son premier contrat avec le label Islands Record en 2007, alors qu’elle n’est âgée que de dix-sept ans. En 2010, tout s’enchaîne très vite pour la chanteuse qui, à force de persévérance et de travail, parvient à enregistrer un premier disque qu’elle promeut lors des festivals d’été en Angleterre avec ses acolytes musiciens qui ont également participé à la composition de "The Constant". Fière de sa première tournée qui s’est terminée le 1er décembre dernier à Paris, au Nouveau Casino s’adresse à son public venu en masse : « C’est le dernier concert de la tournée. Dans ma ville préférée. J’adore Paris ». Coco, une artiste à suivre de près que l’on retrouvera certainement en 2011…